Les régions d'Aman Dolen

C’est la région la plus au nord d’Aman Dolen. Elle est occupée en majorité par les nains qui peuplent la montagne et par les humains que l’on retrouve au nord dans les trois derniers villages d’Ostorfanya, de Tellalondë et de Hyarmentië. La ville principale d’Orònmàr est Mirilnumàr la Merveilleuse. C’est une ville souterraine qui s’étend sous la chaine de montagnes des Formentalmà. Il est dit que la ville de Mirilnumàr serait plus grande que la capitale Mindocalë, mais cela est sans doute dû au nombre impressionnant de quartiers différents qui s’enfoncent dans les galeries.

Cette région est assez déserte et composée quasiment uniquement de la chaîne des Formentalmà, les Pilliers du Nord. C’est une région froide et peu peuplée. Les trois derniers villages au nord sont habités par des humains. L’île d’Istollë n’est pas peuplée, mais constamment surveillée car sous la menace des pirates du sud. Elle sert également de lieu d’isolement pour certains prisonniers.

L’extrême nord du territoire est très escarpé et composé de hautes falaises battues par les vents et le mauvais temps y est rude. Il neige souvent, si bien que les villageois du nord sont appelés les Hommes Forts, en raison de leur courage et de leur endurance à supporter le froid qui y règne.

Gouverneur : Aldrin II, fils Aldvin le sage.

Superficie : environ 230 km de Mindocalë au cap du Tereva Ringa, sur 95 km au plus large d’ouest en est.

Nombre d’habitants : La région compterait plus de 16000 habitants : 361 habitants humains pour les trois villages du nord. On dénombrerait plus de 15 000 habitants, nains, elfes et humains confondus, dans les quartiers de Mirilnumàr.

Infrastructures : Un port à Tellalondë. La prison à Mirilnumàr.

Un réseau de routes, de chemins et de pistes parfois difficiles d’accès, permet de rejoindre tous les lieux de la région.

Dépendances : L’île d’Istollë. Sert de lieu d’isolement pour les prisonniers non-admis dans les geôles de Mirilnumàr.

Il s’agirait de la plus belle région d’Aman Dolen. Se situant à l’est, elle comprend également l’île de Tol Ròmen. C’est une région très boisée et l’on y trouve le grand lac du Rilyalòn, au bord duquel s’est construite la grande ville d’Ostolòna. C’est le domaine des elfes et ils habitent dans la forêt et au bord du lac. Certains des elfes marins vivent sur la côte et principalement au port d’Isilondë, port de transit pour Valinor. Le village de Nicàlimë se situe au sud du lac, et c’est le seul village où la population est mixte, rassemblant elfes et humains. Ostolòna accueille également des Hommes et des Hobbits.

L’île de Tol Ròmen se situe au sud d’Alcarlònë. Le port d’Ëarando monte la garde contre les pirates du sud.

Superficie : Environ 75 km de Mindocalë à Isilondë, et environ 150 km de la frontière avec l’Orònmàr jusqu’à la baie du Bois Marin.

Gouverneur : Finlossë de la maison de Nolofindel

Nombre d’habitants : La région dénombre environ 11 000 habitants en tout. Il y a, au dernier comptage, 5356 habitants à Ostòlona, tout peuple confondu. On dénombre 2842 habitants à Isilondë et 358 à Nicàlimë. Avec la garnison, le nombre d’habitant de Tol Ròmen passe à 2079. On ne peut réellement compter en revanche, tous les elfes qui vivent dans de toutes petites communautés dans les bois. Ils y en auraient peut être 500 de plus dans ce cas.

Infrastructure : Le port grand port d’Isilondë et le port refuge d’Ëarando.

C’est une région facile d’accès et plusieurs routes et chemins ont été tracés dans la forêt et dans la vallée.

La grande région du sud. Composée en majorité de champs cultivés et de grandes zones boisées sur les flans des Laurëronti, terres propices pour les cultures, en raison de sa terre volcanique. C’est la région la plus peuplée en humains et la plus cultivée. Possédant une terre riche et une irrigation parfaite grâce au grand fleuve du Wenyanuin. C’est la région nourricière d’Aman Dolen. Elle possède également l’archipel des Hyarmentïr dans l’extrême sud, qui est devenu le poste avancé de l’armée d’Aman Dolen face aux pirates de Tol Rucàr.

Elle possède neuf villages dont trois ports et la grande ville de Weniavorë. Le petit village d’Indilpalar va bientôt être rendu au Laïcanòr, car la frontière va être abaissée jusqu’au petit delta de l’Altasyria.

Gouverneur : Amandil fils d'Idgard et Hedarine

Superficie : 150 km d’est en ouest au plus large et 180 km de long de Mindocalë à Londëvarno.

Nombre d’habitants : Environ 7000 à Weniavorë, et les différents villages comptent près de 1000 habitants chaque. La région compterait donc environ 18 000 à 20 000 habitants, voir plus.

Infrastructures : Les ports de Numëandor, Londëvarno et Andotiris.

Possède l’archipel de Hyarmentïr, sur laquelle, une armée de près de 3000 soldats est en permanence sur ses gardes.

La région des Hobbits. Il y a très peu d’autres habitants que ce peuple dans cette région, hormis le long des côtes, que les Hobbits ont laissé aux Hommes. Ils vont bientôt récupérer la Ville d’Indilpalar et agrandir leur frontière jusqu’au petit delta de l’Altasirya.

Ils vivent en grande majorité au centre de la région, autour de la ville d’Ostomitsa. De multiples quartiers et bourgs se trouvent dans la périphérie et dans les bois. Ils sont tellement petits qu’ils ne sont pas comptés comme villages.

C’est une région de collines et de petits bois, traversé par l’Altasirya et ses rivières. Les Hobbits y ont fait des cultures et construit leurs maisons dans les collines, comme des terriers. C’est une région calme, et l’on ne trouve des Humains que sur les côtes.

La cité d’Ostanor et le domaine de Valaërya sont sur le territoire de la région, mais font parti de la capitale et ne sont donc pas dirigé par le gouverneur du Laïcanor.

Gouverneur : Hobrar Bripin fils de Gobar Bripin ancien Gouverneur du Laïcanor.

Superficie : 75 km de large de Mindocalë à la côte et 50 km de Lònnen à la frontière avec Laurëmàr.

Nombre d’habitants : Le Laïcanòr compterait environ 5000 habitants, dont 3 à 4000 à Ostomitsa et aux alentours (bourgs et quartiers) et environ 1000 habitants à Lònnen et sur la côte.

La région ne possède pas d’infrastructure, mais les routes et les chemins sont faciles d’accès.